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Vendredi, le 26 juillet 2024
« D’une entrée à l’autre », est l'itinéraire que nous venons de parcourir dans le Parc du mont Mégantic, en faisant par ailleurs un léger détour par l’Observatoire astronomique. Une petite trotte de plus de 18 km, les yeux remplis de l'enchanteresse nature de ce site, et le sourire aux lèvres.
AVANT-PROPOS (1er)
Le Parc national du mont Mégantic est l’un des nombreux parcs provinciaux du Québec administrés par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein Air du Québec). Il se trouve en Estrie, à une soixantaine de kilomètres à vol d’oiseau à l’est de Sherbrooke et à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du lac Mégantic.
À part le secteur nord-est, qui est une réserve écologique protégée (la Réserve écologique Samuel-Brisson), le parc englobe tout le reste du massif du mont Mégantic, qui est lui-même une sorte de boursouflure géologique de 8 km de diamètre sortant brusquement de la terre, et offrant une vague ressemblance avec un ancien volcan éteint depuis longtemps. Ce qu’il n’est pas, en passant – un ancien volcan éteint.
Vue sur le massif du mont Mégantic à partir d’un drone au-dessus du village de Notre-Dame-des-Bois
AVANT-PROPOS (2e)
Le Parc national du mont Mégantic comprend 2 secteurs, chacun ayant sa propre entrée :
1) le secteur de l’Observatoire, qui recouvre toute la moitié sud du massif, et au milieu duquel est érigé – comme son nom l’indique – le fameux Observatoire astronomique, tout en haut du mont Mégantic.
2) le secteur de Franceville, qui couvre pour sa part une plus petite superficie, au nord-est.
Un sentier connecte les deux secteurs en suivant plus ou moins la limite de la réserve écologique Samuel-Brisson.
Ayant déjà fait tous les sentiers du secteur de Franceville (voir chronique intitulée Le grand tour de Franceville) ainsi que tous ceux du secteur de l’Observatoire (les trois plus importants ayant été décrits dans la chronique La boucle des trois sommets), il me restait à me taper en une seule traite ce sentier qui relie les deux zones. Ce que j’ai accompli aujourd’hui avec quelques complices.
De gauche à droite : Dominique, Benoit, votre humble serviteur, Monique, Isabelle, Claude
Et ce qui fait que, désormais, les sentiers de randonnée pédestre de ce Parc n’ont plus aucun secret pour moi – ni pour mes lecteurs qui n’y sont jamais allés, mais qui me suivent assidument dans mes petites aventures !
AVANT-PROPOS (3e)
1) Nous avons fait cette rando à partir du secteur de l’Observatoire en nous rendant à celui de Franceville. Mais le contraire était également faisable, bien sûr. C’est au choix de chacun.
2) Le sentier le plus direct entre les deux entrées fait 14,5 km et comprend quatre tronçons :
- Sentier de l’Observatoire jusqu’au refuge de la Grande Ourse
- Sentier de la Traversée (en passant par le Refuge du col des trois sommets)
- Sentier Talweg
- Sentier Promenade du ruisseau
Sentier le plus direct entre les deux entrées du Parc du mont Mégantic
Carte présentée à titre d’information seulement
Mais il est évidemment possible de créer un tas de variantes pour agrémenter la sauce et pour rallonger le plaisir. En faisant des détours par des sommets, notamment. Ce que nous avons fait nous-mêmes en nous tapant le sentier de l’Observatoire jusqu’au faite du mont Mégantic avant d’entreprendre la grande traversée comme telle.
Une trotte de 18 km au total. On a connu pire.
AVANT-PROPOS (4e et dernier)
Par la force des choses, cette balade a demandé un peu plus d’organisation que d’habitude…
J’explique.
On l’aura compris, le sentier de la « grande traversée » est linéaire. Un sentier linéaire n’est pas une boucle. De sorte que pour revenir à notre point de départ, il faut normalement se retaper le même sentier, mais en sens inverse, en retournant sur nos pas.
Le problème avec ce sentier-ci, c’est que, même en le prenant par la distance la plus courte (14,5 km), il était quand même trop long pour faire l’aller-retour en une seule journée (14,5 km x 2 = 29 km). Du moins, il l’était – trop long – pour nous cette journée-là. Et nous ne voulions pas coucher sur place et revenir à notre point de départ le lendemain.
De sorte que cela a effectivement demandé une certaine logistique.
Au bénéfice de ceux qui seraient éventuellement aux prises avec ce genre de problématique, ci-dessous, le schéma d’organisation pour un groupe de 4 personnes, disons, qui doivent marcher du point A jusqu'au point B, mais qui ne peuvent pas revenir au point A en marchant :
- Deux autos doivent tout d'abord se rendre au point B.
- Une auto demeure là, tandis que la deuxième embarque le conducteur de la première auto et se rend au point A, où les 2 autres randonneurs sont déjà sur place.
- Les marcheurs font la rando à partir du point A jusqu'au point B.
- Une fois la balade terminée, tous les marcheurs embarquent dans l’auto qui avait été stationnée à cet endroit le matin, et retournent au point A.
- Chaque marcheur reprend son auto personnelle, et s’en retourne chez lui.
Notre situation était plus compliquée du fait que nous étions six. Mais la coordonnatrice de l’expédition est venue à bout de tout arranger
Fiou…
DÉTAILS TECHNIQUES DU SENTIER
Tracé
Dénivelé général
Informations diverses
Distance |
17,94 km |
Le GPS en donnera finalement 19,2 |
Dénivelé positif cumulé approx. |
545 mètres |
entre 537 et 553 selon différentes sources |
Dénivelé négatif cumulé approx. |
688 mètres |
environ |
Altitude au départ |
587 mètres |
|
Altitude sommet du mont Mégantic |
1106 mètres |
C’est une moyenne : entre 1102 et 1110 selon les sources |
Altitude au refuge du col des 3 sommets |
900 mètres |
|
Altitude à l’arrivée |
460 mètres |
|
Niveau de difficulté |
Modéré-difficile |
établi en fonction de la grille d’analyse ci-dessous |
Durée estimée |
7h00m |
incluant les arrêts |
Grille d’évaluation personnelle pour établir le niveau de difficulté
Distance |
Cote |
Dénivelé positif cumulé |
Cote |
|
1-4 km |
1 |
0-200 mètres |
1 |
|
5-8 km |
2 |
201-400 mètres |
2 |
|
9-12 km |
3 |
401-600 mètres |
3 |
|
13-16 km |
4 |
601-800 mètres |
4 |
|
17 km et + |
5 |
801 mètres et + |
5 |
|
Résultat de l’addition |
Niveau de difficulté |
|||
2 |
Facile |
|||
3 et 4 |
Facile-modéré |
|||
5 et 6 |
Modéré |
|||
7 et 8 |
Modéré-difficile |
|||
9 et 10 |
Difficile |
|||
Survol aérien
cliquez ici et cliquez sur l’avion
POUR SE RENDRE À L’ENTRÉE DU SECTEUR DE L’OBSERVATOIRE
Cette entrée est située tout au bout de la Route du Parc, que l’on prend à partir du croisement de la Route Chesham et de la Route du Parc qui relient les deux petits villages de Val-Racine et de Notre-Dame-des-Bois.
Le parking se trouve juste à l’entrée, tout près du centre d’accueil et d’un autre bâtiment appelé Astrolab. Tous les sentiers du secteur de l’Observatoire partent de cette zone.
Et sans plus tarder, je raconte maintenant ce petit périple étape par étape…
ÉTAPES
1ère étape : la montée du mont Mégantic jusqu’à l’Observatoire
Distance : 5,3 km |
Dénivelé positif cumulé approx. : 525 mètres |
Dénivelé négatif approx. : 10 mètres |
L’ascension du mont Mégantic jusqu’à l’Observatoire est la balade classique du Parc. Pratiquement tous ceux qui sont venus à cet endroit se l'ont tapée.
Long de 5,3 km, le sentier est considéré comme modéré par les habitués de randos. Il est certes un peu long, et il monte sans arrêt, mais ça se fait bien. La pente est relativement douce dans la 1ère moitié de sa longueur en même temps que l’on suit un splendide ruisseau qui coule dans la montagne à travers des rochers revêtus de mousse et d’une orgie de teintes vertes.
La pente se raidit après environ 2,5 km – à partir du refuge de la Grande Ourse. Mais on peut faire une pause un moment donné, pour se reposer et se restaurer, sur une aire de tables de pique-nique, là où le sentier frôle la route asphaltée qui monte vers l’Observatoire. Cet endroit se nomme la Halte de la Terre et offre une vue imprenable (j’aime ce mot) vers le mont Saint-Joseph et vers le sud du massif.
Fait divers, en passant…
À cette halte, un petit mausolée est érigé pour commémorer le décès de trois jeunes hommes retrouvés morts asphyxiés, voilà près d’une trentaine d’années de cela, dans une camionnette drette à cet endroit.
Cette même montée se radoucit vers le 4e km lorsque l’on arrive sur un plateau qui s’étend sur environ 800 mètres. Mais cette section est passablement boueuse par endroits.
Elle offre toutefois le spectacle d'un genre de « forêt de druide », avec de la mousse sur les troncs de conifères et sur les rochers. Ce décor faisait tellement druidique, en effet, dans ma tête, que je m’attendais presque à rencontrer Panoramix nous offrant de la potion magique pour nous donner la force de continuer l’ascension jusqu’en haut !
Le sentier se termine de façon passablement abrupte sur les derniers 500 mètres à travers des amas de gros cailloux qui faut escalader avec quelques efforts.
Et puis, après un dernier coup de cœur, c’est l’arrivée au faite du mont Mégantic, avec son Observatoire qui se dresse là, sur la plus haute altitude du Parc (plus ou moins 1106 mètres).
Et où l’on plante enfin le drapeau de la victoire.
À noter que l’Observatoire est fermé au public, comme de raison, mais qu’il y a des visites guidées – sur réservation – pour voir les installations. Et pour les citoyens lambda qui désirent observer les étoiles, la nuit, en compagnie de gens qualifiés, cela se passe dans le « petit » observatoire (l’Observatoire populaire), juste à côté, ou à l’Astrolab, à l’entrée du Parc – sur réservation également (les détails sont ici).
Derrière l’Observatoire (le « vrai »), la vue est imprenable vers l’ouest – en direction de Sherbrooke.
2e étape : la descente vers le refuge des 3 sommets
Distance : 2,7 km |
Dénivelé positif cumulé approx. : 8 mètres |
Dénivelé négatif cumulé approx. : 206 mètres |
À partir de l’Observatoire, c’est la descente non-stop jusqu’à la toute fin de la rando. « Après l’effort, le réconfort », disait Lao-Tseu (je crois). Proverbe pas tout à fait de circonstance en ce qui nous concernait, car il nous restait quand même 13,3 km à marcher à travers la caillasse et les racines. Mais au moins, nous en avions terminé avec les gros efforts de respiration – surtout pour ceux de mon âge, ha !
Cette étape-ci de la longue descente nous a menés au refuge du Col des trois sommets. Ainsi nommé parce qu’il est situé sur la partie la moins élevée de la crête montagneuse qui relie les monts Mégantic aux monts Saint Joseph et Victoria et qui sert de passage entre les trois.
Il s’agit aussi de la voie de franchissement la plus basse qui raccorde les deux secteurs du Parc : celui de l’Observatoire et celui de Franceville.
C’est un endroit stratégique, en fin de compte. Une sorte de passage obligé pour ceux qui se tapent certains sommets du Parc. Ainsi que pour ceux qui traversent ce même Parc de bord en bord – comme nous.
Nous nous y sommes donc rendus nous-mêmes de façon poutte-poutte (tranquilou-bilou) en descendant presque tout le temps, et dans la forêt (mais sur un nombre incalculable de gros rochers). Et je dis « presque », car les derniers 800 mètres se font pas mal sur un plateau.
Ce refuge est l’un des sept qui sont disséminés à travers le Parc. On peut les louer pour dormir, mais ils sont ouverts à tous les randonneurs – sauf les chambres – le jour, entre certaines heures déterminées. Ils sont jolis, propres, et chauffés par température froide.
Le refuge du Col des trois sommets
Celui-ci fait face vers le nord : vers le sentier qui mène vers l’entrée du secteur de Franceville – vers notre objectif de la journée, donc.
En face du refuge du Col des trois sommets
Nous y avons fait une petite pause de quelques minutes pour nous restaurer.
3e étape : la longue descente jusqu’au fil d’arrivée
Distance : 10,0 km |
Dénivelé positif cumulé approx. : 20 mètres |
Dénivelé négatif approx. : 469 mètres |
Une dernière trotte, assez longue celle-là – 10 km – jusqu’à l’arrivée. On peut toutefois diviser cette étape en trois sous-sections : 1) le sentier de la Traversée ; 2) le sentier Talweg ; et 3) le sentier Promenade du ruisseau
1) Le sentier de la Traversée.
Il se fait en descendant.
En sens inverse, il se fait évidemment en montant – logique, Watson. Je fais référence au sens inverse parce que, pour l’avoir déjà fait, je sais que cette montée est surprenante. Plus spécifiquement le dernier kilomètre qui semble interminable. Mais en descendant, comme nous l’avons fait aujourd’hui, elle se fait rapidement et les deux doigts dans le nez.
Comme son nom l’indique, ce bout de sentier sert de jonction entre les secteurs de l’Observatoire – d’où nous venions – et de Franceville – où nous nous dirigions. Il chemine essentiellement dans la magnifique forêt du Parc, et toujours en descendant – mais vient un temps où la pente est tellement douce qu’on ne s’en rend plus compte. Et il longe en outre la réserve écologique Samuel Brisson immédiatement à notre droite.
Limites approximatives de la réserve écologique Samuel-Brisson
Mais faut le savoir parce que, visuellement, sur place, on ne voit aucune différence entre la Réserve et le Parc – les arbres sont pas mal tous pareils !
Personnellement, ce sentier a été un coup de cœur. Malheureusement un peu boueux par endroits, surtout au début, – c’est peut-être là son seul défaut –, il rejoint rapidement et longe un ruisseau qui déboule en bas de la montagne, de cascade en cascade, et qui se trouve toujours pas très loin sur notre droite. Et il nous est parfois possible de l’admirer en surplomb, du haut de falaises assez à pic, ma foi.
J’ajouterais que, comme il est moins fréquenté que tous les autres sentiers du Parc, il a un aspect « sauvage » qui plait à ceux qui, comme moi, par exemple, aiment bien se retrouver dans les « arrière-pays ».
2) Le sentier Talweg.
Jusqu’à l’an dernier, ce sentier s’appelait « Ruisseau de la montagne ». Mais ils l’ont rebaptisé Talweg (il faut prononcer « talvèg »).
Mais quel sens les rebaptiseurs ont-ils donné à ce mot : talweg ?
C’est pas clair. Il y a même eu une discussion à ce sujet au sein de notre groupe lorsque nous sommes parvenus à son début.
1ère explication…
Il s’agirait de la traduction allemande du terme « talweg » qui signifie, en français : « chemin de la vallée ».
Si cette explication est la bonne, elle comporterait une redondance qui, pour Monique, la polyglotte de notre groupe, mériterait d’être signalée aux instances du Parc. Et elle a bien raison, car dans ce cas, en français, le « sentier Talweg » se traduirait littéralement par le « sentier du chemin de la vallée ». Ce qui écorche les oreilles, avouons-le.
2e explication
Dans la langue française, le mot « talweg » existe réellement. Il signifie certains concepts un peu techniques, dont celui-ci :
TALWEG (ou THALWEG)
Ligne de fond d’une vallée, suivant laquelle se dirigent les eaux de pluie.
Ligne joignant les points les plus bas d’une vallée
Imaginons qu’un ruisseau d’un seul tout petit centimètre de large coulerait tout au long du fond d’une vallée, eh bien, ce mince et long cours d’eau d’un centimètre désignerait le talweg de cette vallée.
Et comme nous sommes dans une vallée, et qu’un ruisseau (le Ruisseau de la montagne) serpente justement dans le fond de cette vallée, et que, conséquemment, il s’y trouve un talweg, eh bien, ceci pourrait expliquer le nouveau nom donné à ce sentier.
Bref… Quelle que soit sa signification exacte – que nous apprendrons peut-être un jour –, il débute officiellement à un carrefour.
À cet endroit, si nous tournons à droite sur la « passerelle de la chute », nous nous enlignons alors pour faire l’ascension de la montagne de Franceville ; et ce qui représenterait un beau défi à relever à ce moment-ci pour ceux qui se sentiraient en forme – mais pourquoi pas ? Il en a d’ailleurs été question pour nous-mêmes pendant quelques minutes. Mais comme nous avions déjà 13,5 km au compteur, et qu’il était un peu tard, nous avons décidé de prendre tout de suite le fameux Talweg.
Sous la passerelle de la chute
Le sentier Talweg est une promenade poutte-poutte sur un terrain presque plat et qui longe, comme je le disais, le magnifique Ruisseau de la montagne, tantôt juste à côté de lui, tantôt à partir de petites falaises en surplomb, et tantôt en s’en éloignant quelque peu – mais jamais très loin.
C’est un sentier très populaire du fait de sa facilité, de sa longueur, et de sa beauté.
3) Le sentier Promenade du ruisseau.
À l’aboutissement du sentier Talweg, on a encore un choix à faire : soit on tourne à gauche pour faire le sentier des Escarpements qui conduit en haut du Pain de sucre, soit on tourne à droite, on traverse une longue passerelle, et on tourne à gauche pour emprunter le sentier Promenade du ruisseau qui nous mène à l’accueil de Franceville après une courte balade de 1,5 km.
Nous avons écarté l’idée de faire les Escarpements pour les mêmes raisons que nous avions négligé l’ascension des Cimes – nombre de km déjà parcouru + l’heure + (aussi) notre état de fatigue. Et à partir de ce moment-ci, il ne restait quasiment plus rien à faire que de se laisser porter – façon de parler – jusqu’à fin.
Ce sentier est peut-être le plus achalandé de tout le Parc. Facile à marcher, il est à la portée de tout le monde, incluant les enfants en bas âge. Surtout qu’un camping est érigé à son entrée, et que beaucoup de vacanciers le prennent pour profiter de la belle nature de cet endroit. Il longe le même Ruisseau de la montagne que tout à l’heure, mais par sa rive droite cette fois, et c’est de toute beauté encore une fois.
Et c’est ainsi que nous sommes parvenus aux autos que nous avions stationnées à cet endroit, le matin, afin que nous puissions retourner à notre point de départ, à l’autre bout Parc sans être obligés de se retaper la même piste à l’envers.
Ce que nous avons fait, et ce qui a clos cette belle petite promenade de santé qui a certes été longue, mais qui n’offrait pas de difficultés majeures, tout en étant extrêmement ressourçante.
MOT DE LA FIN
Quelques chiffres…
Distance selon le tracé initial |
17,94 km |
Distance parcourue au final (selon GPS) |
19,2 km |
Heure de départ |
08h45 |
Heure d’arrivée |
16h00 |
Temps total |
7h15m |
Temps de marche |
5h20m |
Temps d’arrêt |
1h55m |
Vitesse de marche |
3,60 km/hre |
Vitesse incluant les arrêts |
2,65 km/hre |
Sentiers très bien balisés et entretenus (évidemment, puisqu’il s’agit d’un Parc de la SEPAQ).
Les deux seuls points de vue en hauteur sont à la Halte de la Terre et au sommet du mont Mégantic.
Promenade essentiellement en forêt, mais en longeant de très jolis ruisseaux à plusieurs endroits : au début de l’ascension du mont Mégantic ; pendant la Traversée ; et presque tout au long des sentiers Talweg et Promenade du ruisseau.
À refaire.
Diaporama musical de cette rando ci-dessous
À une prochaine sortie !
DIAPORAMA MUSICAL DE NOTRE RANDO
DE LA LONGUE TRAVERSÉE DU MONT MÉGANTIC
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