Voyage trouble en Pandémie

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Les Maudits Vents s’intéressent aujourd’hui à l’événement le plus bizarroïde auquel l’Humanité a été confrontée depuis longtemps : sa soudaine terreur généralisée envers une variété de grippe banale. L’affaire est tellement surnaturelle qu’il faut sérieusement envisager l’hypothèse que la Terre, sans s’en rendre compte, a franchi un vortex et s’est retrouvée dans une nouvelle dimension. L’un de nos correspondants s’est courageusement enfoncé au cœur de cet étrange royaume dominé par la peur d’un virus classique et nous rapporte les faits sous forme de questions-réponses.

3 août 2020

Comment appelle-t-on les habitants de la Pandémie ?

Les virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

Un virus est une petite chose pas plus grosse que quelques nanomètres de diamètre. Une petite chose si minuscule, qu’elle n’est observable visuellement que par les microscopes électroniques. Pour donner une idée de la démesure de sa petitesse, une façon d’y parvenir est de commencer par l’imaginer de la taille d’un être humain normal.

Si tel était le cas, un véritable humain, à côté, mesurerait quant à lui quelque 300 000 km de hauteur, soit approximativement la distance de la Terre à la Lune.

D’autre part, un virus n’est qu’un simple bagage génétique (d’ADN ou d’ARN) très peu élaboré enfoui sous une coque de protéines. Grossi des millions de fois, et sous forme d’illustration, ça ressemble approximativement à ceci :

Un virus n’est pas un être vivant : il ne respire pas, il ne se nourrit pas, il ne se déplace pas de façon autonome. Il ne fait que se reproduire. Mais même là, il n’est pas capable de le faire tout seul, par lui-même, car il est asexué. Pour produire des doubles de lui-même, il doit s’y prendre en parasitant le bagage génétique d’une « cellule-hôte » qu’il pénètre et dont il emprunte une partie de son ADN. Il se reproduit ainsi en très grand nombre au sein même de cette pauvre cellule. Et en si grand nombre qu’il en vient finalement qu’à la faire exploser sous la pression du volume et après l’avoir vidée de toute sa structure interne. Les nouveaux virus se déversent alors dans l’organisme et envahissent d’autres cellules. Et ainsi de suite.

Quelle est la différence entre un virus et un coronavirus ?

Les coronavirus sont une famille de virus. Ils sont caractérisés par un génome ARN très long. Cet ARN est entouré d’une capsule de protéines en forme de couronne, d’où leur nom de « corona » (mot latin).

Lorsque le système immunitaire d’un corps sain ne parvient pas à s’en défendre – ce qui est relativement rare –, les coronavirus sont responsables de maladies respiratoires et digestives dont certaines sont bénignes (rhumes et syndromes grippaux) tandis que d’autres sont sévères (grosses grippes d’hommes, pneumonies, syndromes respiratoires graves).

D’où vient le coronavirus que l’on nomme maintenant communément – et incorrectement – Covid-19 ?

Il est apparu en novembre 2019 dans la ville de Wuhan, en Chine.

Il s’est ensuite répandu dans le reste de la Chine, puis en Pandémie.

On dit que ce coronavirus a été « fabriqué » en laboratoire et répandu intentionnellement par des gens malveillants parmi la population. Est-ce exact ?

Franchement, je n’en ai aucune idée, mais étant donné qu’il y a justement un laboratoire de virus dans cette ville (l’Institut de virologie de Wuhan), et étant donné tout ce qui s’est passé au niveau du contrôle des populations par la suite, je me dis que ça se peut très bien – pourquoi pas ? L’avenir nous l’apprendra peut-être, mais je doute beaucoup que la lumière sera faite un jour sur cette question.

Institut virologique de Wuhan

Le coronavirus Covid-19 se nomme-t-il réellement Covid-19 ?

Non. Le véritable nom de ce coronavirus est SARS-CoV-2 (en anglais). En français, ça donne SRAS-CoV-2, pour « coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère ».

Covid-19 est plutôt le nom de la maladie que ce virus provoque. Ce nom de Covid-19 vient lui-même de l’expression « coronavirus disease 2019 » (maladie à coronavirus 2019).

Lorsque l’on parle de ce virus, nous pouvons donc utiliser deux termes : SRAS-CoV-2 ou coronavirus de la Covid-19.

Et à propos, il faut apparemment dire la Covid et non le Covid, car comme il vient d’être expliqué, il s’agit non pas du virus, mais bien de la maladie du virus. Quoique cela n’a aucune importance en fin de compte, car un virus n’étant pas un être vivant, il n’a pas de sexe : il n’est donc ni mâle ni femelle dans son essence, et il entre de ce fait dans l’une des multiples catégories des LGBTQ21A+.

Ce coronavirus de la Covid-19 a-t-il été formellement identifié et photographié ?

Il semble que oui, en dépit que la réponse à cette question soit très difficile à confirmer dans la littérature scientifique. Certaines personnes – des fous de complotistes, évidemment – prétendent qu’il n’existe carrément pas (comme le VIH).

Le National Intitute of Allergy and Infectious Diseases, dans le Maryland, en a en tout cas publié quelques photos apparemment officielles prises au microscope électronique, dont celle-ci…

Les tests pour savoir si nous sommes infectés par le coronavirus de la Covid-19 révèlent-ils sa présence « physique » dans notre organisme ? Autrement dit : les laboratoires qui analysent nos échantillons de morve le voient-ils dans un microscope?

Non. Ils utilisent des méthodes qui révèlent indirectement sa présence ou non dans notre organisme via différents tests de dépistage. Ils procèdent par déduction, en somme, comme le ferait Sherlock Holmes.

De quels tests s’agit-il ?

C’est compliqué à s'y retrouver, comme à peu près toute la littérature bureaucratique qui sort des officines de la Fonction publique…

Dans le site de Santé Canada, on finit par plus ou moins comprendre que les provinces peuvent utiliser trois sortes de tests de dépistage dépendamment de leurs priorités et des symptômes des malades potentiels :

- Le test de dépistage au point de service. On ne sait pas trop en quoi il consiste concrètement, celui-là, mais pour le passer, il faut se laisser entrer un Q-tip de 15 cm de long (écouvillon) dans le nez jusque dans le milieu de la tête. Et les résultats sont connus dans l’heure.

- Le test de dépistage par analyse moléculaire (plus connu sous le nom de RT-PCR). Pour ceux que ça intéresse, les explications (très scientifiques) du fonctionnement de ce test sont ici. Pour ce test, on entre ici aussi le même Q-tip de 15 cm de long jusque dans le milieu de la tête du patient. Les résultats sont connus en moins de 3 jours.

- Le test de la détection des anticorps (sérologie). Le titre de ce test dit à peu près en quoi il consiste. On l’obtient avec une prise de sang.

Ces tests sont-ils fiables ?

Le test le plus utilisé au Québec (et dans le monde) est apparemment le RT-PCR (le 2^e de la liste précédente). La fiabilité des résultats de ce test est malheureusement faible, révélant régulièrement la présence de faux positifs (apparents ou réels) et de faux négatifs (apparents ou réels itou). Wikipédia en dit ceci :

« La fiabilité des tests RT-PCR a souvent été mise en doute. Cette mauvaise fiabilité apparente recouvre plusieurs sujets, les uns liés à l’analyse RT-PCR, d’autres liés à l’évolution de la maladie chez un patient, d’autres enfin liés aux procédures de mises en œuvre. »

Ce contestable niveau de fiabilité est en outre aggravé du fait que les résultats positifs vs négatifs sont quelquefois carrément faussés par les gouvernements pour appuyer leurs politiques douteuses. Ce fut notamment le cas en Floride où un nouveau scandale vient justement d’être mis à jour par rapport à la mystérieuse et inexplicable apparition de milliers de nouveaux cas positifs qui avaient récemment déferlé dans cet état (cliquez ici pour lire l’article au complet).

Quels sont les symptômes de la maladie du Covid-19 ?

Voici ce qu’en dit officiellement l’Organisation mondiale de la santé :

« Les symptômes les plus fréquents de la ‎COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la ‎fatigue.

D’autres symptômes moins courants ‎peuvent également apparaître chez ‎certaines personnes, comme des ‎courbatures et des douleurs, une congestion ‎nasale, des maux de tête, une conjonctivite, ‎des maux de gorge, une diarrhée, une perte ‎du goût ou de l’odorat, une éruption ‎cutanée ou une décoloration des doigts de la ‎main ou du pied.

Ces symptômes sont ‎généralement bénins et apparaissent de ‎manière progressive. Certaines personnes, ‎bien qu’infectées, ne présentent que des ‎symptômes très discrets.‎ La plupart des patients (environ 80 %) ‎guérissent sans qu’il soit nécessaire de les ‎hospitaliser.

Environ une personne sur cinq ‎contractant la maladie présente des ‎symptômes graves, notamment des ‎difficultés à respirer. Les personnes plus ‎âgées et celles qui ont d’autres problèmes ‎de santé (hypertension artérielle, ‎problèmes cardiaques ou pulmonaires, ‎diabète ou cancer) ont plus de risque de ‎présenter des symptômes graves. »

Cela ressemble étrangement à la grippe saisonnière, non ? Certains affirment d’ailleurs que cette maladie n’est ni mieux ni pire qu’une grippe banale. Exagèrent-ils ?

Non, ce coronavirus se comporte comme tous les autres coronavirus connus à ce jour et il cause des dommages similaires et dans des proportions également similaires :

1) Relire les symptômes précédents de cette maladie énumérés par l’OMS qui sont bel et bien les symptômes d’un rhume (forme bénigne) ou d’une grippe (forme plus sévère).

2) En décembre 2017, c’est-à-dire bien avant cette histoire de pandémie, l’OMS elle-même titrait ceci dans un article de son site (article que l’on peut toujours lire à ce jour, cliquez ici) : « Jusqu’à 650 000 décès par an sont dus à la grippe saisonnière ».

Cela dit, les décès prétendument dus au coronavirus de la Covid-19 s’élevaient à 623 658 en date du 23 juillet.

Il ne suffit maintenant que de comparer ces deux chiffres (650 000 vs 624 000) pour comparer les dommages des deux maladies. Et ceci dit sans tenir compte que les causes de décès attribuées à ce coronavirus sont extrêmement douteuses et de plus en plus remises en question à travers le monde – voir plus loin.

Cette maladie requiert-elle une hospitalisation ?

Dans les cas problématiques, oui. Les personnes qui ont dû être admises dans les hôpitaux pendant la crise sont surtout des personnes âgées déjà aux prises avec une ou diverses maladies chroniques, la très grande majorité se trouvant déjà dans les Centres Hospitaliers de Soins de Longue Durée (CHSLD) ; autrement dit les personnes en perte d’autonomie. L’hypothèse la plus avancée pour expliquer cette situation est que ces gens ont un système immunitaire plus affaibli que les personnes en bonne santé.

Le graphique ci-dessous du site de l’Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ) confirme cette situation des hospitalisations au Québec selon l’âge :

Est-il risqué de mourir de la maladie Covid-19 ?

Oui. Mais cette éventualité, encore une fois, n’est présente surtout que pour les personnes à risque élevé, c’est-à-dire, et en très grande majorité, les personnes âgées souffrant déjà de maladies chroniques. Pour les gens âgés de 70 ans et moins, le risque est réduit de façon drastique, et encore plus réduit s’ils sont en bonne santé. En bas de 60 ans, le risque de mourir est à peu près nul. Il l’est complètement en bas de 50 ans.

Comme la grippe ordinaire, en somme, et encore une fois.

Grippe ordinaire… Vous y allez un peu fort, non ? Les témoignages de ceux qui ont attrapé cette maladie raconte des choses terribles sur ce qui leur est arrivé…

Il est vrai que je ne l’ai pas attrapée moi-même. Et aucune des personnes que je connais ne l’a attrapée non plus. Au cours des derniers mois, j’ai demandé à chacune des personnes que j’ai rencontrées si elle connaissait quelqu’un qui l’avait attrapée. La réponse a toujours été négative, sauf deux fois où des personnes m’ont dit connaitre quelqu’un qui connaissait quelqu’un qui l’avait attrapée. Et ces deux cas faisaient apparemment référence à une semaine d’enfer cloués au lit – ce qui m’a rappelé la grosse grippe d’homme que j’avais attrapée lorsque j’avais dans la quarantaine et dont je conserve encore un très malheureux souvenir.

Sur YouTube, les nombreux témoignages parlent d’un simple malaise de quelques jours jusqu’à un séjour horrible, intubé à l’hôpital. Certains rapportent même qu’ils demeureront handicapés à vie des suites de cette épreuve.

Comme pour toutes les maladies à coronavirus, les conséquences médicales sont extrêmement variées, passant d’un extrême à l’autre. Des milliers de personnes ont vécu des expériences traumatisantes à cause d’une pneumonie, par exemple, tandis que d’autres s’en sont sortis sans plus de mal.

Existe-t-il un traitement à cette maladie de Covid-19 ?

Nos autorités sanitaires disent que non, mais il en existe bel et bien un, oui. Et il est très efficace. Il s’appelle l’hydroxychloroquine.

Il a été démontré que si ce médicament est pris en prévention, il empêche complètement le virus de proliférer. Il a été également démontré que s’il est administré au début des symptômes, il guérit rapidement les malades sans même un séjour à l’hôpital. Selon l’expertise du médecin qui prend la décision de le prescrire, il peut être accouplé à de l’arythromicine. Par contre, si la maladie est diagnostiquée à un stade trop avancé, un autre traitement s’impose.

Qu’est-ce que l’hydroxychloroquine ?

L’hydroxychloroquine était un médicament en vente libre dans plusieurs pays du monde depuis plus d’une soixantaine d’années – surtout en Afrique. C’est un médicament anti-rhumatismal en ce qu’il réduit l’inflammation dans le traitement de nombreux types d’arthrite et de lupus. Il est également utilisé contre le paludisme et dans de nombreux environnements tropicaux et subtropicaux.

Il avait aussi toujours démontré son efficacité contre les maladies respiratoires telles que celles provoquées par les coronavirus.

C’est pour cette dernière raison qu’il a été naturellement utilisé par la Chine dès le début de l’épidémie avec des résultats concluants. Il a également été utilisé dans plusieurs autres pays avec autant de succès.

Dès le début de la crise en France – en mars –, et se basant sur les études chinoises, le célèbre épidémiologiste français, Didier Raoult, de Marseille, a pris l’initiative d’organiser une vaste campagne de dépistage dans son hôpital et il a mis sur pied un protocole de traitement à base de ce médicament. Ses résultats ont été spectaculaires. Son établissement détient le record français du minimum de décès de la Covid-19 de toute la France, et de tous les pays qui ont imposé le confinement.

À cause de ses initiatives – et de ses réussites –, le Dr Raoult est désormais considéré comme un véritable héros par les Marseillais.

Qui est ce Dr Didier Raoult, au juste ?

Français né à Dakar en 1952. Immigré très jeune en France. Spécialiste des maladies infectieuses et professeur de microbiologie. Spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté des sciences médicales et paramédicales de Marseille et à l’Institut hospitalier universitaire en maladies infectieuses de Marseille. Lauréat du grand prix de l’INSERM en 2010. Il a découvert et décrit des virus complexes. Coauteur de milliers de publications scientifiques.

En somme, c’est l’une des plus grandes sommités internationales en microbiologie.

Cela dit, le Dr Daoult a deux problèmes – du moins pour l’establishment ainsi que pour certains citoyens scrupuleux :

1) Le premier est son look de hippie anticonformiste.

Comme tous ceux qui n’ont aucun argument pour défendre leurs opinions, ses détracteurs mettent souvent le focus sur cet aspect-là de sa personne plutôt que sur ses propos et ses réalisations.

2) Son deuxième problème est son franc-parler et ses prises de position très sévères à l’encontre des décisions irrationnelles en matière de santé publique qui sont prises en haut lieu dans son pays. Ses attaques virulentes (sans jeu de mots) contre les décideurs et contre ses confrères corrompus lui attirent de nombreux ennemis haut placés.

L’hydroxychloroquine est-elle utilisée ici, au Canada, pour soigner la Covid-19 ?

Parait-il qu’elle a été envisagée au Nouveau-Brunswick, mais qu’elle a finalement été mise sur la glace (selon la version officielle). D’autres sources prétendent au contraire qu’elle a bel et bien été utilisée dans cette province – ce qui expliquerait son très bas taux de décès. Comme pour tout ce qui entoure la gestion de cette crise, la vérité est extrêmement difficile à cerner, car on ne peut pas se fier aux médias traditionnels pour obtenir la véritable information.

Cela dit, ce médicament n’est pas « officiellement » prohibé par le gouvernement canadien, mais il n’est pas du tout encouragé. Santé Canada met les médecins en garde contre son utilisation :

Au Québec, la ligne dure est par contre de mise : le toujours très despotique Collège des Médecins a formellement interdit à ses membres de la prescrire. Sous peine de quoi ? On l’ignore, mais on s’en doute.

En dépit de cette interdiction, il semble que certains médecins, très peu nombreux, respectant davantage le serment fait à Hippocrate (sauver des vies) que celui fait à l’Ordre (préserver leur job), traitent apparemment leurs patients de cette façon, mais en douce, bien sûr, pour ne pas attirer l’attention sur eux et risquer de se faire radier.

Pourquoi ce médicament est-il déconseillé si c’est effectivement le traitement contre cette maladie ?

À cause de la polémique très virulente concernant son usage – surtout en France.

Depuis l’initiative du Dr Raoult et de ses fabuleux résultats par rapport au reste des hôpitaux de la France qui ont dédaigné l’hydroxychloroquine, il se livre depuis lors là-bas – et ailleurs dans le monde – une bataille à finir entre les « pour » ce médicament et les « contre ». Les contre affirmant que ce médicament peut causer plus de tort que de bien aux malades, en mettant entre autres de l’avant des problèmes cardiaques possibles.

Les plus fanatiques des « contre » ont été jusqu’à faire publier une étude « prouvant » les dangers de mort de ce médicament dans la prestigieuse revue médicale The Lancet.

Étude qui a aussitôt été décriée par l’ensemble du corps médical comme étant complètement bidon. Il avait été très facile, en effet, de deviner que cette étude n’avait jamais eu lieu et que les résultats avaient été inventés de toutes pièces. The Lancet a admis son erreur quelques jours plus tard, et s’est publiquement excusée ; ce qui a créé un scandale – appelé le « LancetGate ».

Mais il était trop tard, car le mal était fait : sur la foi de ce faux rapport, l’OMS et la presque totalité des gouvernements avaient déjà interdit ce médicament. Et malgré la rétractation publique de la revue concernant cet article, les médecins influents corrompus par Big Pharma et les gouvernements ont néanmoins continué de s’opposer fermement à ce traitement depuis ce temps.

Le Canada est à plein dans cette mouvance. Autant Santé Canada que le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec et que le Collège des Médecins du Québec ont produit des recommandations très négatives concernant ce médicament qui a pourtant fait ses preuves partout dans le monde. L’INESSS s’est même donné beaucoup de peine en produisant un rapport de 88 pages prouvant son inutilité et même sa dangerosité…

Et si le débat, ici, au Québec, n’est pas aussi virulent qu’ailleurs dans le monde à ce sujet, c’est peut-être parce que la population en général n’a jamais entendu parler de ce médicament grâce aux journalistes qui, comme d’habitude, sont demeurés très discrets sur ce sujet de fond, de crainte probablement de l’aviver pour de bon et d’en perdre le contrôle.

Pourquoi toute cette polémique à propos de ce médicament ? Pourquoi cet acharnement à vouloir l’interdire à tout prix par les décideurs alors que – répétons-le – c’est le traitement pour soigner cette maladie ?

Pour comprendre, il faut évidemment « follow the money », comme d’habitude.

Les deux raisons les plus évidentes à vouloir tant bannir l’hydroxychloroquine sont toutes les deux de nature financière.

1^ère raison. L’hydroxychloroquine est un médicament générique depuis une éternité, qui ne coûte pratiquement rien, et qui ne rapporte plus rien à personne. Les lobbys pharmaceutiques font de ce fait pression sur les gouvernements pour promouvoir leurs propres médicaments – nouveaux et dispendieux – via des médecins influents ayant des conflits d’intérêts avec Big Pharma.

À propos, de toutes ces compagnies pharmaceutiques, Gilead est sans doute celle qui est aujourd’hui le plus sur la sellette concernant ce scandale des lobbyistes.

2^e raison. C’est de notoriété publique que les mêmes compagnies pharmaceutiques salivent à l’idée de vacciner toute la planète étant donné les milliards de dollars qui sont en jeu, et ne lésinent pas sur les moyens pour y parvenir, dont une propagande hyper orchestrée depuis le début de cette pandémie via l’OMS, les médias de masse et les gouvernements. Ils ont donc intérêt, eux aussi, à ce que ce médicament bon marché soit interdit.

Ici un article de la Presse – un parmi des centaines d’autres – qui diffuse allègrement cette propagande d’une éventuelle vaccination obligatoire via l’OMS, via la Fondation Bill & Melinda Gate et via le Gavi (financé également pas Bill et Melinda).

Qu’en est-il aujourd’hui – fin juillet – de ce débat sur l’hydroxychloroquine ?

On sent enfin imperceptiblement un vent de changement depuis deux mois. L’Italie le prône maintenant publiquement pour prévenir une éventuelle ou pseudo 2^e vague. Le Brésil ainsi que les États-Unis également.

Ci-dessous, tous les pays – en rouge – qui, en avril, recommandait et/ou utilisait ce médicament :

Pour sauver des vies humaines, pour mettre fin à l’indécent lobby des compagnies pharmaceutiques et pour en terminer avec la corruption gouvernementale dans ce dossier pourri de la Covid-19, il est à espérer que cette liste de pays s’élargira avant l’automne et qu’elle fera pression sur le nôtre pour débloquer tous les stocks présents par milliers dans nos hôpitaux. Ce qui pourrait enfin tourner la page une bonne fois pour toutes de ce dossier qui ne fait que s’étirer artificiellement en longueur et qui a fait tant de morts par négligence et par pure malversation.

Pour revenir à cette maladie de Covid-19, comment toute cette folie a-t-elle débuté ?

« Folie » est vraiment le mot à utiliser. Nous sommes passés de quelque chose qui n’avait aucune importance à une sorte de panique mondiale en l’espace de quelques jours. Car si vous vous souvenez bien, en décembre, janvier et février, et même au début de mars, nos gouvernements nous répétaient de ne pas nous inquiéter par ce qui se passait en Chine, que c’était un problème local, et que cette maladie n’était pas plus dangereuse qu’une simple grippe de toute façon. Les aéroports demeuraient ouverts et la vie continuait son cours. S’il n’y avait pas eu cette étude de l’Imperial College London qui a mis le feu aux poudres, nous aurions continué à vivre comme avant, ni plus ni moins.

Quelle étude ?

Celle publiée par un bonhomme du nom de Neil Ferguson et qui travaillait pour cette institution britannique. Son article démontrait, chiffres à l’appui, que le monde était sur le point de vivre une véritable catastrophe planétaire dans les prochains jours, et que pas moins de 7 vagues successives nous attendaient au cours des prochaines années ! Selon ce prophète moderne, le seul et unique moyen pour éviter cette tragédie était le confinement de tous les citoyens sans tarder davantage. Sinon, ce serait l’apocalypse.

Cet article, relayé à grand renfort de propagande médiatique, a fait l’effet d’une véritable bombe à travers le monde, et a déclenché l’hystérie collective.

Qui est Neil Ferguson ?

C’est un professeur de biologie mathématique spécialisé dans les schémas de propagation des maladies infectieuses chez les animaux et les humains. Il est très coté mondialement. Ce qui est une totale aberration en regard de tous les modèles prévisionnels qu’il a produits lors des épidémies importantes précédentes, et qui se sont tous révélés faux.

De quels modèles s’agissait-il ?

Le tableau ci-dessous montre ses prévisions de décès lors de trois épidémies importantes qui ont eu lieu par le passé, et les chiffres réels après le décompte officiel (tableau tiré d’un article de Peter St-Onge de l’IEDM, juin 2020)

Selon toute évidence, son modèle mathématique souffre d’imperfections majeures. Mais qu’à cela ne tienne, sa réputation n’en a apparemment pas souffert une miette – au contraire – depuis ce temps puisque, lorsqu’il a fait ses affolantes prédictions concernant la Covid-19 en mars, les gouvernements en ont littéralement perdu la tête et tout sens critique.

Est-ce ces prédictions concernant la Covid-19 se sont finalement réalisées ?

Il est passé au contraire complètement à côté de la track, encore une fois, comme l’illustre le tableau suivant, toujours tiré du même article de Peter St-Onge de l’IEDM, juin 2020. À noter que j’ai moi-même modifié ce tableau en inscrivant les derniers nombres de décès disponibles, soit ceux en date du 31 juillet 2020.

Comme on peut s’en rendre compte, nous sommes loin de l’apocalypse annoncée.

Pour avoir une analyse objective de ce qui s’est passé en mars et de toutes les conséquences catastrophiques qui ont résulté de ce rapport alarmant et faux, je réfère directement à ce fameux article de Peter St-Onge paru dans l’Institut économique de Montréal de juin 2020.

Un article ultérieur de l’Imperial College London – dans la revue Nature – a démontré que c’est justement le confinement qui a sauvé le monde de ce génocide annoncé. Ce n’est pas le cas ?

Le contraire de ces propos aurait été étonnant à lire de leur part. Il est tout à fait normal qu’ils justifient leurs chiffres de cette façon après coup puisque ce sont eux – par l’entremise de Neil Ferguson – qui sont à l’origine du confinement qu’ils ont si urgemment recommandé. Ils ne se renieront pas eux-mêmes, bien évidemment. Ils se tireraient dans le pied, comme on dit. En ce qui concerne ce dossier, ils ont perdu toute crédibilité.

Et un autre problème – pour eux –, c’est que lorsqu’on jette un coup d’œil sur les pays qui n’ont pas imposé le confinement – il y en a plusieurs, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire –, on constate qu’il ne s’est à peu près rien passé de cataclysmique chez eux non plus. En fait, les pays qui n’ont pas confiné s’en sont tirés mieux que nous – et de loin.

Certains disent que cette disparité du nombre de décès liés à la Covid-19 est due à la façon dont les décès ont été comptés. Est-ce que ça se peut ?

Les causes des mortalités sont en effet de plus en plus contestées à travers le monde, et remises en question. Les pays ayant dénombré un nombre astronomique de décès dus à la Covid-19 (la Belgique détenant le record toutes catégories) sont de plus en plus accusés d’avoir gonflé les chiffres afin de justifier leurs décisions gouvernementales. Nous en avons fait autant, ici, au Québec.

Dans la vidéo ci-dessous, Horacio Arruda, directeur de la santé publique du Québec, avoue lui-même que, non seulement les pays comptabilisent différemment leurs décès, mais que nous-mêmes, au Québec, nous prenons un soin méticuleux à attribuer la Covid-19 comme cause de décès à beaucoup de nos morts, et ce, sans effectuer de tests, et en établissant de simples « liens épidémiologiques ». Autrement dit : 1) si je meurs, eh bien je meurs de la Covid ; et 2) si quelqu’un de ma famille meurt également, il meurt lui aussi de la Covid, par simple association.

Plusieurs vidéos ont circulé sur le Net – ici et ailleurs dans le monde – de familles outrées parce que certains de leurs proches déjà en fin de vie (en phase terminale de cancer, par exemple) ont reçu les papiers de décès avec « Covid » comme cause de leur mort. Des suicides ont même été attribués à ce virus…

(ce qui est mentionné dans cette vidéo au sujet du « projet Veritas » et des salons funéraires

s’est passé aux États-Unis)

Évidemment, pour que lumière soit faite sur cet éventuel scandale, il faudrait procéder à des autopsies. Et on peut toujours rêver…

Pourtant, un coup d’œil sur les chiffres officiels des décès au Québec semble prouver qu’il y a bel et bien eu surmortalité par rapport aux années passées, du moins durant les mois d’avril et de mai…

Le tableau Excel ci-dessous démontre en effet une surmortalité au Québec pendant ces deux mois-là.

Est-ce que le virus de la Covid-19 explique cette surmortalité ?

Il l’explique en partie, car ce coronavirus, comme tous les coronavirus, tue effectivement des gens (comme la grippe saisonnière). On sait maintenant lesquels : les personnes âgées de 70 ans et plus déjà aux prises avec des maladies chroniques – voir plus haut.

Mais cette surmortalité s’explique également par ce que certains ont appelé le « scandale des CHSLD ». Il en a été amplement question dans la presse de masse, mais j’en résume ici les grandes lignes :

- Les personnes âgées placées dans les CHSLD étaient laissées à l’abandon depuis de nombreuses années en raison – surtout – d’un manque criant de personnel : ici un article du Journal de Montréal (un article parmi tant d’autres), daté de juin 2019, qui dénonçait déjà cette situation.

- Lors du plus fort de cette « crise du Covid », et en raison du climat de terreur entretenu par le gouvernement et les médias de masse, plusieurs membres du personnel des CHSLD, déjà insuffisant, ont déserté de crainte d’attraper eux-mêmes la maladie, laissant les personnes âgées sans aucun soin. L’armée, entre autres, a dû être appelée en renfort pour compenser le personnel manquant.

- Le Ministère de la Santé et des Services sociaux a émis en plus une directive à l’intention de tous les milieux de soins hors hôpitaux (les CHSLD étant donc expressément visés ici) à l’effet de ne pas procéder à des mesures de réanimation en cas d’arrêt cardiaque (le mot « pas » étant souligné par la directive) :

Le document complet de cette directive est ici

- Le gouvernement a interdit à la famille proche des personnes âgées des CHSLD d’entrer dans ces institutions pour en prendre eux-mêmes soin, déclenchant ainsi – en plus – une détresse psychologique chez ses patients déjà fragilisés par leur état de santé défaillant.

Bref, cette surmortalité des mois d’avril et de mai s’explique en grande partie par cette situation de panique et de totale désorganisation dans les CHSLD.

Dans une moindre mesure, elle peut également s’expliquer par les cas de suicides et autres raisons de décès dus aux suites désastreuses du confinement décrété par le gouvernement à ce moment-là.

Bref, en tenant même pour acquis que toutes les causes de décès sont réellement attribuées à la Covid-19, on peut au moins affirmer que cette maladie frappe essentiellement les personnes âgées de plus de 70 ans qui sont déjà malades ?

Oui, oui, et re-oui. C’est ce que les gens qui observent objectivement la situation se tuent à répéter – dans le vide, dirait-on. La preuve étant que la seule hécatombe qui est survenue au printemps l’a été dans les CHSLD, et plus particulièrement ceux de Montréal.

Aucun enfant n’est mort ici, au Québec ? Aucun ado ? Aucun adulte en bas de 40 ans ?

Exactement : zéro.

Et pour ce qui est des 40-60 ans ?

Comme on peut le voir sur le graphique de l’INSPQ – voir plus haut –, ils ne représentent que 8 % des décès totaux. Et à quelques exceptions près, il s’agissait de gens déjà malades dont le système immunitaire était déjà affaibli.

Pourquoi certains pays ont-ils confiné leur population entière alors, et fermé tous les petits commerces, et fermé les écoles, et détruit ainsi l’économie de leur pays alors que le problème avait été assez rapidement circonscrit ?

Ça, c’est la grande question. La question qui tue. Essayer de répondre à ça, c’est s’embarquer dans une quête métaphysique. Essayer de comprendre la logique absolument cabalistique qui a guidé la suite de décisions irrationnelles et contradictoires que les gouvernements ont prises tout au long des six derniers mois demande en effet une énergie physique et mentale à toute épreuve. En fait, si l'on ne tient compte que de l’aspect sanitaire de la chose, toutes leurs mesures ne s’expliquent pas rationnellement.

Est-ce que cette pandémie – si pandémie il y a réellement eu – est terminée ?

Elle est terminée, oui. Et ce, depuis la mi-juin, disons. La fameuse courbe s’est « aplatie », comme c’était prévu. Les nouveaux cas d’hospitalisation se font de plus en plus rares au fur et à mesure que le temps passe. Les décès également. Les graphiques du Québec le démontrent sans aucune équivoque – et ils sont semblables à ceux du monde entier. Nous ne faisons pas exception à la règle.

Imprime-écran INSPQ 2 août 2020

Ce virus a réagi comme tous les autres virus banals du monde entier. Ni pire ni moins.

Alors pourquoi, certains pays, comme ici, au Québec, obligent-ils encore à respecter des règles de distanciation et à porter des masques dans les lieux publics en plein été ?

Ça, c’est une autre question qui tue. Et seul les gouvernements qui décrètent ces mesures pourraient répondre de ces décisions absurdes qui vont à l’encontre de toute logique sanitaire.

Messieurs Arruda et Legault, ainsi que les médias de masse, n’arrêtent pas de répéter que la pandémie n’est pas terminée du fait que l’on dépiste encore de nouveaux cas parmi la population…

L’on dépiste de nouveaux cas, car l’on multiplie les tests. Tout cela est normal – et tout à fait logique. Si l’on faisait des tests pour dépister le virus de l’influenza, par exemple, nous découvririons beaucoup de cas d’influenza. Notre corps contient un nombre incalculable de virus, mais notre système immunitaire s’en occupe continuellement – c’est son job. C’est pour cette raison que, bien que nous soyons porteurs de multiples virus, et pourvu que nous soyons en relativement bonne santé, nous sommes et demeurons asymptomatiques.

Et la preuve de tout cela est qu’en dépit du fait que le nombre de dépistages augmente – ce qui, répétons-le, est normal, puisqu'il se fait davantage de tests –, le nombre d’hospitalisations diminue, lui, comme une peau de chagrin. Et le nombre de décès est maintenant à peu près nul.

Messieurs Arruda et Legault, ainsi que les médias de masse, n’arrêtent pas de répéter également qu’une 2^e vague est imminente…

Beaucoup de virus réapparaissent d’une année à l’autre dans les pays tempérés comme le nôtre, lors de la saison froide. Celui de la grippe ordinaire revient d’année en année, et nous n’y pouvons rien. Lorsqu’il surgit, nous prenons les mesures qui s’imposent en temps et lieu et nous espérons en être épargnés.

Si le coronavirus de la Covid-19 réapparait, il aura probablement le même modus operandi que la première fois ; c’est-à-dire qu’il s’attaquera plus violemment aux personnes âgées déjà affaiblies par d’autres maladies. Le reste de la population ne sentira rien (au mieux), comme la première fois ; ou elle sera aux prises avec un rhume ou une grosse grippe d’homme (au pire), comme la première fois aussi.

Et si le gouvernement cesse de jouer le jeu de Big Pharma, et s’il autorise enfin le traitement à l’hydroxychloroquine, comme beaucoup d’autres pays le font, la situation sera alors très facilement contrôlée : en PRÉVENANT la maladie et en la SOIGNANT ADÉQUATEMENT DÈS LES PREMIERS SYMPTÔMES.

Étant donné que l’épidémie est maintenant chose du passé et que les chiffres officiels fournis par les gouvernements démontrent clairement que 96 % des décès ne concernaient que des personnes âgées avec des problèmes importants de santé, comment se fait-il donc que les gens aient encore peur de mourir à ce point ?

Les raisons sont multiples et faciles à comprendre :

- Parce que le gouvernement a déclenché une campagne de terreur dès le début de cette histoire et qu'il n'a jamais rien fait pour ramener les choses dans sa juste perspective. Au contraire, il a sans cesse mis de l'huile sur le feu au fur et à mesure des jours qui s'écoulaient.

- Parce que les médias de masse ont entretenu cette ambiance de terreur en martelant le nombre de cas et de morts à tous les jours sur les écrans de télévision, à la radio et dans les journaux.

- Parce que la mort est la plus grande peur de l’être humain.

- Parce que, lorsque les gens ont peur (notamment de la mort), ils réagissent comme des enfants de sept ans et perdent tout sens de réflexion objective et de raisonnement.

- Parce que les gens sont conditionnés depuis leur plus tendre enfance à faire confiance à leur gouvernement et à ce qu’ils entendent à la télé, à la radio et à ce qu’ils lisent dans les journaux.

Pourquoi le gouvernement et les médias de masse agissent-ils de cette façon ?

Ça, c’est une autre fichue de bonne question qui tue, et cela mènerait trop loin de tenter d’y répondre ici. Ces explications ont par ailleurs tendance à déclencher des crises d’urticaire à bien des gens, et je ne veux pas rendre personne malade. Je le ferai peut-être dans une prochaine chronique à l’attention de ceux qui sont curieux et qui ont une certaine ouverture d’esprit.

Juste dire que cette attitude de nos gouvernements n’a strictement rien à voir avec une pseudo « crise sanitaire ». Celle-ci n’est qu’un prétexte, une occasion à saisir. Leur motivation est encore et toujours en lien avec leurs putains et sempiternels enjeux personnels d’ego trip : l’argent et le pouvoir.

Cette crise n’est pas sanitaire, mais bel et bien financière et politique.

Et examinés sous cet angle, tous leurs décrets contradictoires et sans queue ni tête s’expliquent en une vision parfaitement rectiligne. Les prochaines directives qu’ils nous fourgueront à la figure à l’automne sont même faciles à prédire. Pour les Québécois : gardez la loi 61 en mémoire – entre autres – et attendez voir.

Bon, pour terminer, pourquoi ne faut-il plus avoir peur de se promener en Pandémie à visage découvert et en reprenant une vie normale ?

- Parce que ce virus de la maladie Covid-19 n’est pas plus meurtrier, ni même plus dangereux que le virus de la grippe ordinaire.

- Parce que cette maladie ne s’attaque en grande majorité qu’aux personnes âgées de 70 ans et plus et dont le système immunitaire est déjà affaibli par d’autres maladies. Et parce que c’est autour de ces gens-là qu’il faut déployer des mesures de prévention. Et pas juste à cause de cette Covid, mais EN TOUT TEMPS. C’est-à-dire en accroissant les soins de qualité dans les CHSLD.

- Parce que le reste de la population (les 70 ans et moins en relativement bonne santé) n’a rien à craindre sauf de souffrir éventuellement, peut-être, d’un rhume ou d’une grippe, comme cela arrive aléatoirement toutes les années sans que jamais personne ne panique avec ça.

- Parce qu’un médicament (l’hydroxychloroquine) existe pour prévenir et même guérir très rapidement cette maladie, et qu’il n'en tient qu’au gouvernement de cesser de l’interdire sous la pression de Big Pharma, ce qui est littéralement un crime.

- Parce que porter ce fichu de masque va complètement à l’encontre d’une bonne hygiène de vie – comme M. Arruda s’est lui-même évertué à le répéter pendant si longtemps jusqu’à ce qu’il change mystérieusement d’avis tout dernièrement.

- Parce que la société doit réapprendre à faire confiance et à vivre avec son système immunitaire qui a toujours été et qui restera toujours la meilleure protection contre les microbes.

- Parce que la société est composée d’êtres humains grégaires et que la chaleur humaine et l’affection font partie de leurs gènes, et qu’il faut recommencer à voir les sourires sur les visages et à se toucher comme avant, sans crainte de mourir – ce qui est complètement idiot.

- Parce qu’il faut extirper ce virus de la peur du cerveau de nos enfants et de nos petits-enfants afin qu’ils grandissent dans un milieu sain au sein duquel la joie l’emporte sur la terreur.

- Bref, parce qu’il faut revenir le plus rapidement possible à la normale pour se rendre compte que tout ce qui vient de se produire n’a été qu’une vaste fumisterie.

SORTONS MAINTENANT DE CE PAYS DE PANDÉMIE

QUI N’EST EN FAIT QU’UN PAYS COMME LES AUTRES

ET RENTRONS CHEZ NOUS

MOT DE LA FIN

N’EN DÉPLAISE AUX TRÈS DÉSHONORABLES

MESSIEURS ARRUDA ET LEGAULT