Les "wokes" et leur théorie du genre
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Dans la section « affaires bizarroïdes » de ce blog, les Maudits Vents se penchent aujourd’hui sur la nouvelle religion qui vient d’envahir nos sociétés occidentales : le wokisme. Une religion créée par des intellectuels universitaires (!), et dont les préceptes font passer ceux des raëliens, par exemple, pour quelque chose de réfléchi et de raisonnable.
Mis en ligne le 9 septembre 2023
Les wokes et le wokisme
Le wokisme est la nouvelle religion des intellectuels universitaires de l’extrême gauche américaine et qui s’est récemment répandue comme une trainée de poudre dans tout l’Occident. Et cela s’est fait si rapidement et si agressivement, que tout le monde semble complètement dépassé par le phénomène et ne plus être en mesure, comme d’habitude, de réfléchir froidement au non-sens de ce qui est train de se passer – et de laisser aller les choses déraper sans intervenir.
Ce mot de « wokisme » vient tout d'abord du terme anglais « wake » (« réveiller ») et plus spécifiquement du diminutif de son participe passé « woken ».
Être woke, c’est donc être « éveillé ». Éveillé à quoi ? Aux questions liées à l’injustice sociale et à l’inégalité raciale. Et les wokes ratissent très large dans ce créneau : ils sont de ce fait très actifs au sein des mouvements contre la discrimination raciale, et celle envers les LGBT, les femmes, les immigrés et toutes les autres populations marginalisées. Ils se mêlent en plus évidemment du climat, mais dans une moindre mesure.
Étant personnellement de tradition légèrement gauchiste (l’ancienne et défunte gauche, je veux dire), et en temps normal, j’aurais peut-être été un woke moi-même étant donné les causes qu’ils défendent. Mais les problèmes avec ces gens – et je précise bien les problèmes – sont multiples et énormes :
- les doctrines qu’ils ont inventées ne s’appuient sur aucune logique ; elles ne reposent en outre sur aucune étude sérieuse et sont de ce fait anti-scientifiques ;
- les moyens qu’ils préconisent pour arriver à leurs fins sont extrêmement violents (les émeutes de Black Lives Mater, par exemple), et vont beaucoup trop loin ;
- ils sont eux-mêmes très agressifs verbalement et physiquement ;
- ils ne supportent aucune contradiction ;
- ils refusent catégoriquement tous les débats sur les combats qu’ils mènent ;
- ils imposent leurs idées envers et contre tous via les médias qui leur donne une visibilité monstre tout en censurant systématiquement toutes critiques à leur égard, et en profitant du support sans conditions des gouvernements qui légifèrent à tire-larigot en faveur de toutes leurs revendications.
En d’autres termes, les wokes sont des extrémistes fanatiques, et même de comportement sectaire – j’y reviendrai. Ils sont de ce fait excessivement dangereux. À tel point qu’ils sont en train de commettre des torts irréparables dans nos sociétés : chez nos enfants, notamment.
Et ça fait peur.
Et ça fait peur parce que leurs concepts, du fait qu’ils flirtent dangereusement avec les troubles psychologiques, et grâce aux médias et aux instances gouvernementales qui leur laissent toute la latitude qu’ils désirent pour s’exprimer, sont en train de tisser leurs toiles dans la société envers et contre tous. Cela ressemble étrangement à la période de la décadence de l’Empire romain, pendant laquelle les empereurs étaient fous à lier et que le peuple devait endurer leurs fantasmes dévastateurs de force.
Comme je le mentionnais plus haut, les revendications wokes couvrent un large spectre social et font l’objet de bouquins savants. Faute de place, je ne m’attarderai ici que sur le sujet du « genrisme », car c’est sans doute la plus bizarroïde de toutes leurs divagations, et cette section de mon blog traite justement d’aberrations incompréhensibles telles que celles-là.
Une mise en situation aux conséquences potentiellement graves (pour ceux qui oseraient critiquer)
Bienvenue, donc, dans le monde fantasmatique du « genre » des wokes : celui dans lequel vous n’êtes plus ipso facto ni une femme ni un homme, mais plutôt tout ce que vous désirez être. Vous avez toujours rêvé d’être un loup, par exemple ? Cela signifie que vous l’êtes réellement. Le malheur est que le hasard vous a fait naitre dans le corps d’un humain. Ce qui n’est évidemment pas votre faute. Mais ce qui n’est pas grave du tout non plus puisque, désormais, si vous voulez être un loup à part entière, vous le pouvez. C’est sans aucun problème.
Pour ce faire, vous n’avez qu’à le décréter et à exiger que les membres de votre entourage se plient à cette volonté. Une fois cette annonce officiellement promulguée, vous pourrez dorénavant agir concrètement en loup : vous promener à quatre pattes, hurler à la pleine lune, lécher l’eau d’un ruisseau et déféquer à l’endroit où il vous plaira. Et ce ne sera pas du fake ni un jeu de rôle enfantin : vous serez réellement un loup. Non pas, bien sûr, dans le corps physique de cet animal – car vous aurez malheureusement toujours l’enveloppe charnelle qui vous a été octroyée à la naissance, et la science n’est pas (encore) assez avancée pour opérer cette transformation. Mais qu'à cela ne tienne, vous serez un véritable loup dans votre tête. Ce qui reviendra exactement au même. Et vous laisserez ainsi libre cours à votre nature égotique profonde.
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Et gare à celui qui vous jugera ou – pire – qui rira de vous ! S’il s’y risque, il sera illico traité d’extrême droite, de transphobe et d’oppresseur. Vous serez même en droit de lui envoyer une mise en demeure pour harcèlement et de lui faire perdre éventuellement son emploi – et ce ne sont pas des blagues. D’autre part, si une personnalité connue et influente émettait le moindre commentaire désobligeant concernant cette orientation farfelue, elle verrait sa réputation complètement démolie en deux temps trois mouvements par les médias et les bien-pensants qui se jetteraient sur elle comme des hyènes sur une proie. C’est rendu à ce point.
La nouvelle notion du « genre » est en effet un sujet très sensible, très brûlant, et le danger est énorme d’être démembré et lynché sur la place publique si vous osez aborder cette question en utilisant la critique ou la moquerie. Ce qui est très dommage du fait que ce concept en est justement un qui incite fortement à la critique et aux moqueries. Car si nous appelons un chat un chat, cette théorie du genre est une belle connerie. Mais une connerie passablement terrifiante étant donné que ce sont les gouvernements (et leurs propagandistes les médias) qui la prônent, qui en font la promotion et qui nous contraignent à l’adopter.
La non-existence des genres
Jusqu’à un passé pas si lointain que ça, et comme un peu tout le monde, je n’avais jamais entendu parler de cette histoire de la non-existence des genres. Mais parait que ça se discutait sérieusement depuis longtemps dans les milieux universitaires puisque cette doctrine sort directement de là : de l’université, c’est-à-dire de la pépinière des extrêmes gauchistes de la société.
Aussi, quelle n’a pas été ma surprise, comme tous les citoyens ordinaires, de me voir subitement – et du jour au lendemain – bombardé de tous côtés par des phénomènes dont je n’étais pas du tout préparé à recevoir les coups : les demandes cabalistiques des LGBT2xQQ+++XYZ, par exemple, les drag queens dans les écoles, les athlètes masculins qui compétitionnent contre les femmes, les hommes qui peuvent maintenant tomber « enceints » (!), les femmes qui peuvent avoir le cancer de la prostate (!)…et la mise au ban de la société de tous ceux qui critiquent ces absurdités…
Étant donné la gravité de la situation (des gens étaient soudainement licenciés ou étaient démolis sur la place publique pour avoir prononcé un mot de travers à ce sujet – comme lors de la covid, de triste mémoire), j’ai commencé à fouiller pour au moins comprendre le langage woke qui ne m’était pas du tout familier, mais surtout pour comprendre les revendications de cette minuscule minorité de personnes qui sortaient tout à coup du placard et qui prenait une place si démesurée partout. Mais ça a été compliqué. J’énumère ici une toute petite partie de ce nouveau vocabulaire hermétique avec lequel j’ai été confronté : agenre, cisgenre, intersectionnalité, LGBTQIA+, LGBTTQQIAAP, queer, pansexuel, mégenrer, non-mixité, thérian, transidentité, xénogenre, etc. N’en jetez plus, la cour est pleine !
Rien n’est d’ailleurs encore très clair pour moi dans ce fouillis lexical. Les wokes eux-mêmes s’obstinent d’ailleurs entre eux à propos de leurs propres termes à utiliser pour se décrire et ils s’y perdent. Bref, pour notre santé mentale, vaut mieux se contenter d’essayer de saisir le sens général de la théorie plutôt que de s’attarder à ces détails, car on tournerait en rond sans avancer d’un poil.
Cela précisé, revenons un peu en arrière…
Voilà à peine quelques années, la biologie était simple : dans la nature, chez le vivant – et incluant les humains –, il y avait des mâles et il y avait des femelles.
Couple d’humains biologiquement bien constitués jusqu’à tout récemment
Les mâles et les femelles s’accouplaient et donnaient naissance à un ou plusieurs rejetons qui étaient également des mâles ou des femelles. Et ainsi de suite, et point barre.
La caractéristique physique qui différenciait les mâles des femelles à la naissance était la présence d’un pénis et de testicules pour les mâles et celle d’un vagin et d’un utérus pour les femelles.
Et à la puberté, avec l’afflux massif de testostérones dans les corps masculins et d’œstrogènes dans les corps féminins, d’autres caractéristiques faisaient en sorte de différencier encore davantage les deux organismes : physiquement, toujours, mais également dans les comportements.
Sans le savoir, c’est ce que l’on entendait par sexe binaire… Binaire qui signifie : « composé de deux unités, deux éléments ». D’un homme et d’une femme, ici, en l’occurrence. Le genrisme (féminin et masculin) était donc étroitement associé au binaire.
Comme dans tout système qui se respecte, il y avait évidemment quelques exceptions à cette règle. À partir de l’adolescence – ou plus tard –, certains hommes et certaines femmes étaient en effet sexuellement attirés par des gens de même sexe qu’eux. Ils étaient désignés par le terme générique « homosexuel ».
Les « bisexuels » étaient quant à eux attirés sexuellement par les deux sexes selon leur humeur du moment.
Les deux (homos et bis) demeuraient néanmoins des hommes et des femmes dans leur essence. Et quoique ces gens représentaient un grand nombre de personnes, ils ne constituaient qu’une petite proportion de la collectivité des humains prise dans son ensemble. Au Canada, par exemple, en 2014, et selon le Canadian Community Health Survey, seulement 1,7 % des hommes et des femmes se déclaraient homosexuels, et 1,3 % se disaient bisexuels.
Et finalement, il y avait également une catégorie à part, très marginale, celle-là : les « transsexuels ». Ces derniers (hommes et femmes) étaient tellement mal dans leur corps de naissance qu’ils allaient jusqu’à changer médicalement de sexe pour se sentir réellement à leur place. Ils étaient toutefois encore plus rares que les homos et les bis.
Ces gens (homos, bis, trans), qui représentaient des exceptions, et comme à peu près toutes les minorités, avaient été marginalisés pendant très longtemps. Mais les mentalités avaient évolué pour finalement entrer dans la fenêtre d’Overton et avaient tant bien que mal accepté de considérer ces personnes comme des humains « normaux », et non plus comme des aberrations de la nature.
Voilà, en gros, où nous en étions rendus en ce temps-là, c’est-à-dire il y a à peine deux ou trois ans.
J’en parle au passé, car les wokes affirment aujourd’hui que cette biologie vieille de milliards d’années n’est rien d’autre que de la bouillie pour les chats. Selon eux, nous ne naitrions pas homme ou femme. Non. Nous naitrions neutres, asexués, aphrodites. Et ce serait la société, programmée depuis des millénaires, qui nous stéréotyperait dès la naissance en homme ou en femme. Et cette désignation se ferait machinalement en fonction de la présence ou de l’absence d’un pénis sur le corps dans lequel nous aboutissons quand nous venons au monde.
Autrement dit, en réalité, ce n’est pas parce qu’une conscience se trouve dans un corps affublé d’un pénis qu’elle est nécessairement un homme – idem pour les femmes – avec tous les stéréotypes qui leur sont associés. Pour les wokes – je simplifie à l’extrême –, le corps physique est complètement accessoire, et n’a aucune importance sur notre psyché. Notre conscience est entièrement libre d’être ce qu’elle veut être.
Toujours selon la religion woke, nous naissons en fait tant et si bien neutres, que si on nous laissait le choix de notre devenir, sans nous influencer d’un iota, nous prendrions très jeune et tout naturellement le parti de vivre en « n’importe quoi ». Et quand je dis en n’importe quoi, c’est bel et bien en n’importe quoi : en homme ou en femme, bien sûr, si tel était notre désir, mais également en ni l’un ni l’autre (non binaire). Nous pourrions également très bien décider de vivre en animal, en plante, en minerai, ou en un concept abstrait (comme une émotion ou une humeur), ou même en une création de notre imagination. C'est sans aucun problème. Certains wokes, par exemple, décident qu’ils sont des elfes. On croirait rêver, mais la fiction d’aujourd’hui dépasse tout à fait la réalité.
Et cela va tellement loin que rien n’est jamais coulé dans le ciment. Si un woke décrète qu’il est une femme ou une fleur ou whatever, cela peut ne durer que quelques jours. Lorsqu’il en aura assez, il se décrétera autre chose selon sa nouvelle fantaisie. Et son entourage devra obligatoirement s’adapter à ses caprices.
C’est en effet le summum du narcissisme. La notion du « me myself and I » poussée dans ses ultimes retranchements.
Pour beaucoup de ces gens, il ne s’agit évidemment que d’une mode, que d’une passade, que d’une sorte de jeux de rôle amusant dont ils profitent allègrement, mais dont ils se lasseront avec le temps. Mais pour beaucoup d’autres, cette doctrine représente quelque chose d’extrêmement sérieux :
- certains y croient tellement qu’ils procèdent à des chirurgies irréversibles pour se transformer physiquement en un corps qui leur fait envie ;
- et les plus fanatiques font montre d’une excessive agressivité pour faire adhérer le reste de la planète à leurs vues, ne montrant même aucun scrupule à forcer la porte des écoles pour convertir les enfants à cette croyance dès leur plus jeune âge (pensez aux drag queens qui se sont immiscées dans les bibliothèques, dans les écoles primaires et dans les émissions d’État destinées aux enfants ; et pensez également à MX Martine).
Ces universités qui se sont soudainement métamorphosées en églises dogmatiques
L’événement est sans précédent ! Et ce n’est pas peu dire.
D’habitude, et ce, depuis que les universités existent, celles-ci se sont toujours contentées d’étudier les religions. Et elles le faisaient avec un regard extérieur et neutre, et en analysant leurs impacts historiques et sociaux sur l’Humanité. Et en se faisant en outre un point d’honneur de les explorer scientifiquement avec le moins de subjectivité possible ; c’est-à-dire avec du recul et à l’aide d’une pensée rationnelle. Et en aucun temps, elles se permettaient d’émettre le moindre avis sur le bien-fondé ou non des croyances qu’elles disséquaient dans leurs cours de sciences humaines.
Or, aujourd’hui, contre toute attente, non seulement les universités viennent-elles d’adhérer carrément à l’une de ces croyances, mais elles l’ont même elles-mêmes créée !!
Nous sommes en train de vivre une époque historique – et hystérique !
Car il ne faut pas se leurrer : la théorie du genre est une authentique religion dans son sens le plus pur : elle part en effet du principe – ABSOLUMENT NON PROUVÉE – que la conscience n’a rien à voir avec le corps physique, qu’elle en est détachée, qu'elle flotte à l'extérieur de celui-ci. Et qu’elle est donc spirituelle, divine, dans son essence.
Les universités ont franchi une limite. Et ce n’est pas peu dire ! Nous sommes revenus quatre cents ans en arrière d’un seul coup, à l'époque où le Clergé était tout puissant et avait droit de vie ou de mort sur le peuple en fonction de croyances irrationnelles. Elles – les universités – qui s'étaient toujours targuées de nous protéger contre l'obscurantisme religieux, eh bien, elles viennent non seulement de faillir lamentablement à leurs tâches, mais elles ont également et carrément pris la place de cet ancien Clergé tout puissant, – Inquisition incluse.
Beaucoup y voient même le début de la fin de l’empire occidental. Les autres nations, la Russie et la Chine en tête, nous observent de loin en cherchant les raisons pour lesquelles nous sabordons nous-mêmes volontairement notre propre navire en plein milieu de l’océan. Ça les dépasse complètement. Mais d’un autre côté, elles se réjouissent évidemment de notre déclin et de notre décadence.
Encore plus grave qu’une religion : une secte
Le wokisme n’est pas seulement qu’une religion. C’est une véritable secte. Et on peut très facilement le prouver.
L’organisme gouvernemental français MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a dressé une liste d’indices servant de signaux d’alerte pour déterminer si un regroupement religieux quelconque s’apparente ou non à une secte. Bien sûr, la présence d’un seul énoncé ne peut en aucun cas nous amener à conclure quoi que ce soit. Mais plus les critères positifs s’accumulent et plus il devient impérieux de regarder la situation de près. Or, ici, en considérant le nombre de critères positifs présents dans ces listes, l’on voit très nettement que la religion woke est bel et bien une secte, et que ses adeptes sont des sectaires.
Les énoncés ci-dessous sont tirés du site MIVILUDES, et j’ai moi-même coché les items qui s’appliquent au wokisme…
Comment détecter si on a affaire à une secte (le tout premier critère est toutefois de moi) ?
√ l’adhésion sans conditions à une croyance non prouvée ;
√ la déstabilisation mentale ;
le caractère exorbitant des exigences financières ;
√ la rupture avec l’environnement d’origine ;
√ l’existence d’atteintes à l’intégrité physique ;
√ l’embrigadement des enfants ;
√ le discours antisocial ;
√ les troubles à l’ordre public ;
l’importance des démêlés judiciaires ;
l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels ;
√ les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.
Comment déceler l’influence sectaire dans le domaine de la vie sociale et démocratique ?
√ discours antisocial et antidémocratique ;
√ critique des institutions publiques ;
√ troubles à l’ordre public ;
√ perturbation du fonctionnement normal des services publics ;
l’existence de condamnations judiciaires ou ordinales ;
détournement des circuits économiques traditionnels ;
√ tentatives d’infiltration ou de déstabilisation des pouvoirs publics ;
√ publications de documents ayant l’apparence d’un caractère officiel ;
√ détournement de marques, dessins, titres et modèles pour amener une confusion dans l’esprit du public ;
Comment déceler l’influence sectaire dans le comportement d’un proche ?
√ l’adoption d’un langage propre au groupe ;
√ la modification des habitudes alimentaires ou vestimentaires ;
le refus de soins ou l’arrêt des traitements médicaux régulièrement prescrits ;
√ en situation de rupture avec la famille ou le milieu social et professionnel ;
√ l’engagement exclusif pour le groupe ;
√ la soumission absolue, dévouement total aux dirigeants ;
√ la perte d’esprit critique ;
√ les réponses stéréotypées à toutes les interrogations existentielles ;
√ l’embrigadement des enfants ;
√ l’existence d’atteinte à l’intégrité physique et psychique ;
le manque de sommeil.
Voilà pour la démonstration, et je ne crois pas qu’il y ait quelque chose à rajouter sur cet aspect de l’affaire.
C’est loin d’être terminé, mais on ferait mieux de s’arrêter là
En plus de la théorie du genre, la religion woke comprend deux autres volets : la théorie critique de la race et celle de l’intersectionnalité ; celles-ci étant plutôt de nature sociale que religieuse – quoique…
Pour ceux qui désireraient aller plus loin sur ce sujet, je leur recommande chaudement la lecture du livre La religion woke de Jean-François Braunstein, philosophe et professeur émérite à l’université de la Sorbonne, qui fait le tour exhaustif – et pas très tendre – de cette secte et de l’immense danger qu’elle représente pour les sociétés occidentales.
Et puis, avant de clore cette chronique, il y aurait évidemment lieu de se demander « pourquoi ? » Pourquoi, en effet, cette offensive sans précédent dans le monde occidental pour déconstruire le genre ? Pourquoi les médias en font-ils la propagande et démolissent-ils socialement quiconque émet la moindre critique à son égard ? Pourquoi les gouvernements encouragent-ils ces absurdités allant même jusqu'à légiférer en leur faveur ? Pourquoi les univers du sport, du cinéma et des grandes corporations adhèrent-ils exagérément à ces doctrines de malades ? Pourquoi lave-t-on le cerveau de nos enfants du primaire, et ce, dans le dos des parents ?
Tenter de répondre à toutes ces questions nous ferait entrer de plain-pied dans le monde du complot. Car il ne fait aucun doute qu’une agression de cette envergure (du jamais vu dans nos nations occidentales – exception faite de la covid) de la part de si nombreuses personnes influentes et de décideurs relève effectivement du complot à grande échelle.
Sinon, j’invite quiconque à essayer de trouver une explication rationnelle à toute cette folie.
André Bercoof interview
Jean-François Braunstein sur les ondes de Sud Radio
Un universitaire woke dans toute sa splendeur d’intellectuel
perdu dans son monde cosmique
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